Si la défaite contre le Portugal a mis un terme à plusieurs séries statistiques, il y a eu beaucoup de nouveautés en 2016, de Dembélé à Umtiti en passant par Borisov, Rotterdam ou le 4-0 à la mi-temps contre l’Islande.
Cette année-là
Vous prenez une année, vous la retrournez dans tous les sens, vous en décrivez le contexte, les protagonistes et les rebondissements. Une nouvelle année tous les deux mois, piochée dans un intervalle multiple de dix ans par rapport à l’année en cours. Et aussi le bilan complet des années récentes, depuis 2010.
2016, un bilan en bleu (5/6) : l’attaque
Elle a fait des étincelles cette année grâce à son trio de feu Griezmann-Giroud-Payet. Du coup, les petits derniers de 2015 ont momentanément disparu de la circulation. Et Gameiro a mis le pied dans la porte.
2016, un bilan en bleu (4/6) : le milieu
C’est le secteur de jeu le plus stable cette année. Pogba et Matuidi omniprésents, Kanté ou Sissoko pour faire le troisième et des poussières pour les trois autres. Mais stabilité ne veut pas dire efficacité.
2016, un bilan en bleu (3/6) : la défense
Trois gardiens et quatorze défenseurs : jamais Didier Deschamps n’aura utilisé autant de monde derrière (treize défenseurs en 2013, douze en 2014, onze en 2015). La succession d’Evra et de Sagna est engagée.
2016, un bilan en bleu (2/6) : le sélectionneur
Ça aurait pu être l’année d’un troisième titre européen après ceux de 1984 et 2000. Didier Deschamps a bien failli y arriver, à un poteau près dans le temps additionnel le 10 juillet. Le reste était quand même bien.
2016, un bilan en bleu (1/6) : les matches
Première partie de la rétro de l’année, en commençant par ce que nous ont appris les dix-sept matches, notamment celui qu’il ne fallait pas perdre et qui a été perdu. C’est l’histoire du verre à moitié plein.