Avec un patronyme écrit de trois manières différentes et deux prénoms dont l’un ne figure pas dans son état-civil, Henri Vascout est un exemple de casse-tête généalogique. Et mieux valait pour le corps arbitral ne pas contrarier sa mère...
1911
Les premiers Bleus : Henri Bellocq, l’hypothèse alsacienne
International entre 1909 et 1911, Henri Bellocq a mystérieusement disparu pendant la Première Guerre mondiale. Pas disparu au sens de tué, mais au sens d’introuvable. A-t-il déserté ? Voici une autre hypothèse.
Les premiers Bleus : Simon Sollier, le prénom retrouvé
Longtemps privé de prénom dans les archives de presse, puis baptisé par erreur André et considéré comme mort à la guerre, Simon Sollier (5 sélections entre 1909 et 1911) est désormais correctement identifié après de minutieuses recherches.
Les premiers Bleus : Alfred Compérat, Raymond Gouin et Victor Hitzel
Tous trois issus du club de patronage de la Jeanne d’Arc de Levallois, ce sont des joueurs modestes qui n’ont presque pas laissé de trace dans l’histoire des Bleus. Cet article est toutefois l’occasion de corriger des inexactitudes.
Les premiers Bleus : Joseph Verlet, un poloïste taillé comme un rugbyman
Auteur du tout premier pénalty de l’histoire de l’équipe de France en 1908, Joseph Verlet a aussi pratiqué le water-polo à un haut niveau. En sélection, il était chargé de faire le ménage devant son gardien grâce à un physique de déménageur.
Les premiers Bleus : Jules Verbrugge, vrai-faux benjamin
Ailier de poche plutôt individualiste, il a longtemps été considéré comme le plus jeune joueur de l’histoire de l’équipe de France, à cause d’une confusion avec un homonyme, Julien Verbrugghe. Voici son histoire.