Cinq des titulaires de la demi-finale de Séville en juillet 1982 avaient en commun leur année de naissance, 1955. Dix Bleus ont vu le jour cette année-là, avec des fortunes diverses mais aussi du très haut niveau.
Maxime Bossis
Né le 26 juin 1955 à Saint-André-Treize-Voies, il est peut-être le meilleur arrière gauche de l’istoire des Bleus. Technique impeccable, état d’esprit irréprochable et reconversion brillante en défense centrale où il forma avec Patrick Battiston un verrou quasi-imprenable entre 1984 et 1986, le Nantais est un des piliers de la génération Platini. Il faudra attendre dix ans et l’arrivée de Lizarazu pour retrouver un joueur de ce niveau à ce poste.
Ainsi s’achèvent les carrières (2) : en phase finale
Deuxième partie de cette série, consacrée aux joueurs qui ont quitté l’équipe de France à l’occasion d’une phase finale d’Euro ou de Coupe du monde. Certains l’ont même fait au terme d’une finale...
Bossis : il est livre, Max
Le Grand Max se livre. Aux côtés du journaliste Emmanuel Faure, Maxime Bossis revient sur sa carrière de footballeur dans une autobiographie publiée aux éditions Nouvelles Sources.
Maxime Bossis, la décennie du Grand Max
Maxime Bossis fut pendant l’une des décennies les plus glorieuses de l’équipe de France un titulaire indiscuté de la défense, comme latéral puis comme arrière central.
Varane dans la lignée des grands défenseurs centraux des Bleus
Pressenti pour être le futur capitaine de l’équipe de France à la suite de Lloris, Varane a préféré achever sa carrière internationale après la Coupe du monde 2022. Que vaut son bilan comparé à celui de ses huit principaux prédécesseurs ?
1976, une année dans le siècle
Michel Hidalgo fait ses débuts et lance Six, Bossis et Platini contre les futurs champions d’Europe. Chirac démissionne de Matignon, Mao meurt, la terre tremble en Chine, Taxi Driver est sur les écrans et U2 se forme. Qui dit mieux ?