Lors de la Coupe du monde 1986 au Mexique, l’équipe de France dispute ses trois rencontres du premier tour à León, dans un stade de 31 000 places parfois surnommé le Nou Camp.
Estadio León, un petit Nou Camp dans les montagnes mexicaines

Lors de la Coupe du monde 1986 au Mexique, l’équipe de France dispute ses trois rencontres du premier tour à León, dans un stade de 31 000 places parfois surnommé le Nou Camp.
Le stade Jalisco de Guadalajara (Mexique), c’est le souvenir d’un mythique quart de finale de la Coupe du monde qui opposa l’équipe de France au Brésil. C’est aussi le terminus d’une génération dorée.
Du soleil de Guadalajara à la nuit noire de Leipzig, de Michel Platini à Philippe Jeannol, des adieux de Giresse aux débuts de Papin, c’était 1986, l’année de Tchernobyl et de la mort de Coluche.
Nouvel entretien avec l’un des auteurs du Dico des Bleus. Cette fois, c’est Bruno Colombari qui apporte son éclairage sur la période 1982-1986, celle qui a tout changé grâce entre autres à l’invention du carré magique.
Trois fois dans son histoire, l’équipe de France a eu dans son jeu un carré d’as, talents complémentaires qui ont entraîné des années fastes. Le premier de la série, celui qui a illuminé le milieu des années 80, était en fait un losange. Bienvenue chez les Fertigipla.