Karim Benzema

Attaquant parmi les plus précoces de l’Histoire des Bleus (né le 19 décembre 1987 à Lyon), international à 19 ans et 3 mois, il peine à confirmer son statut de titulaire indiscutable qu’il ne trouvera qu’après la Coupe du monde 2010. Mis en confiance par Didier Deschamps, il revient en grande forme en 2014 avant d’être rattrapé par des démêlés avec la justice fin 2015 dans l’affaire dite de la sextape. Il est écarté de l’équipe de France pendant plus de cinq ans (octobre 2015-mai 2021), puis revient et participe à l’Euro 2020. Avec le Real Madrid, il gagne cinq Ligues des Champions entre 2014 et 2022, et devient Ballon d’or en octobre 2022. Blessé, il est forfait pour la Coupe du monde au Qatar.

Tableaux de bord 784 après France-Espagne

Publié le 5 septembre 2014 - Bruno Colombari

Gagner à domicile après une coupe du monde, ce n’est jamais facile. Battre l’Espagne non plus. Quant à Benzema, c’est le plus jeune vétéran des Bleus à moins de 27 ans. Les tableaux de bord font leur rentrée.

Karim Benzema et les buteurs en panne

Publié le 23 février 2013 - Bruno Colombari

Dix matches au pain sec : l’attaquant du Real n’a plus marqué depuis juin 2012 contre l’Estonie. C’est long, mais ça arrive. Voici le détail pour les huit autres buteurs ayant joué plus de cinquante matches et marqués au moins quinze buts.

Le change au Mans, c’est maintenant

Publié le 5 juin 2012 - Bruno Colombari

Un score large (4-0), une victoire nette face à une Estonie qui n’a pas fait illusion longtemps, des attaquants qui rassurent, les Bleus peuvent partir tranquilles en Ukraine malgré une défense un peu fébrile.

Tableaux de bord 743 après Albanie-France (1-2)

Publié le 3 septembre 2011 - Bruno Colombari

Le premier but de Yann M’Vila et le treizième de Benzema, un douzième match sans défaite, le bilan des Bleus à l’extérieur contre les pays méditerranéens : ce qu’il faut retenir après le match de Tirana.

Une victoire à faire peur

Publié le 2 septembre 2011 - Bruno Colombari

Au terme d’une deuxième mi-temps d’une indigence stratosphérique, les Bleus ont obtenu ce qu’ils sont venus chercher à Tirana. Mais cette victoire face à l’Albanie (2-1) inquiète plus qu’elle ne rassure tant les défaillances collectives et individuelles ont été nombreuses.

La Coupe du monde idéale