Après un début de match à l’Irlandaise, les Bleus ont facilement battu une faible équipe bulgare (4-1). Le trio offensif Griezmann-Gameiro-Payet a brillé, contrairement au duo Pogba-Matuidi.
France-Bulgarie (4-1) : c’est tellement plus simple

Après un début de match à l’Irlandaise, les Bleus ont facilement battu une faible équipe bulgare (4-1). Le trio offensif Griezmann-Gameiro-Payet a brillé, contrairement au duo Pogba-Matuidi.
Hristo Bonev d’un côté, Michel Platini de l’autre, Ian Foote au sifflet et les poteaux carrés de Sofia à chaque extrémité : le premier match mythique de l’ère Hidalgo est prêt.
Entre 1932 et 1971, le bilan est équilibré avec cinq victoires partout et deux nuls. Mais les déplacements à Sofia après-guerre seront autant de chemins de croix pour des Bleus qui ne peuvent plus voir Vasil Levski en peinture.
La double confrontation France-Ukraine des 15 et 19 novembre prochains sera la huitième de l’histoire dans la catégorie très restreinte des matches de qualification joués sur un format aller-retour. Les Bleus l’ont emporté cinq fois.
Deux matches à jouer à domicile, une qualification à portée de main, ça ne vous rappelle rien ? En octobre 1993, les Bleus s’inclinent contre toute attente face à Israël, puis, un mois plus tard, contre la Bulgarie. Un tel scénario est-il à nouveau possible ?
Combien de défaites à l’extérieur ces cinq dernières années ? Zéro. Nada. Combien sur le terrain de l’adversaire en compétition depuis quatorze ans ? Aucune. L’équipe de France fait partie de ces invités sans-gêne qui choisissent le meilleur fauteuil du salon, mettent les pieds sur la table basse et piquent les cacahuètes à pleines poignées.