Né le 14 janvier 1955 à Saintes, il a porté le maillot bleu pendant onze ans (1976-1986), a participé à trois Coupes du monde et un championnat d’Europe, mais il ne compte au final que 49 sélections, pour 15 buts et 11 passes décisives. Ailier droit puis avant-centre de grande classe, il était d’une correction extrême et ne rendait jamais les coups qu’il prenait. Son Mundial mexicain, à 31 ans, a été le sommet de sa carrière internationale, qu’il a achevée face au Brésil sous le soleil de Guadalajara.
Depuis 1953, l’équipe de France a joué 86 fois en septembre, avec un bilan intéressant de 49 victoires pour seulement 14 défaites. Le match perdu contre l’Italie en septembre 2024 est le neuvième en compétition.
Le mardi 19 août 1975, l’équipe de France de Ștefan Kovács commence sa saison par un match de préparation face au Real Madrid, où se révèle un ange stéphanois.
C’est sans doute le dribbleur le plus élégant de l’histoire des Bleus. De 1975 à 1986, Rocheteau aura tout connu avec l’équipe de France, malgré une éclipse au plus mauvais moment en 1984. Il vient d’avoir 70 ans.
Cinq des titulaires de la demi-finale de Séville en juillet 1982 avaient en commun leur année de naissance, 1955. Dix Bleus ont vu le jour cette année-là, avec des fortunes diverses mais aussi du très haut niveau.
Deuxième partie de cette série, consacrée aux joueurs qui ont quitté l’équipe de France à l’occasion d’une phase finale d’Euro ou de Coupe du monde. Certains l’ont même fait au terme d’une finale...
En comptant ceux qui ont inscrit quatre buts, ou même cinq, dans le même match, ils sont 16 Bleus à avoir réalisé un triplé en équipe de France. A quel moment du match ces buts ont-ils été marqués ? Dans quelles circonstances ? Contre quel adversaire ? Qui sont les triples buteurs les plus rapides, ou les plus jeunes ?
