Just Fontaine

Recordman des buts en une phase finale de Coupe du monde (13 en 6 matchs), Just Fontaine est né le 18 août 1933 à Marrakech. Repéré en sélection à 20 ans, il ne s’impose qu’à la toute dernière minute dans le groupe pour la Coupe du monde 1958 en Suède, où son association avec Vincent, Piantoni et surtout Kopa fait des merveilles. Deux graves blessures en mars 1960 et janvier 1961 vont écourter sa carrière (21 sélections, 30 buts). Il devient un éphémère sélectionneur (deux matchs) au premier semestre 1967. Il décède le 1er mars 2023 alors qu’il était le dernier survivant parmi les titulaires français contre le Brésil en 1958.

Qui sont les survivants de France-Brésil 1958 ?

Publié le 18 novembre 2024 - Bruno Colombari

Après le décès de Bernard Chiarelli à 90 ans, il ne reste qu’un seul participant français de la demi-finale en Suède : Robert Mouynet. Du côté brésilien, depuis la disparition de Zagallo, quatre remplaçants sont toujours là.

Ces Bleus buteurs à leur première sélection

Publié le 4 décembre 2023 - Bruno Colombari

Ils sont près d’une centaine à avoir marqué, comme Warren Zaïre-Emery, dès leur première apparition en équipe de France. Ce dernier est pour l’instant le plus jeune des débutants-buteurs, alors que Juste Brouzes, Joseph Rodriguez et Paul Moreel sont les plus rapides.

Les triplés de l’équipe de France

Publié le 27 novembre 2023 - Bruno Colombari

En comptant ceux qui ont inscrit quatre buts, ou même cinq, dans le même match, ils sont 16 Bleus à avoir réalisé un triplé en équipe de France. A quel moment du match ces buts ont-ils été marqués ? Dans quelles circonstances ? Contre quel adversaire ? Qui sont les triples buteurs les plus rapides, ou les plus jeunes ?

Ainsi s’achèvent les carrières (3) : sur blessure

Publié le 14 août 2023 - Bruno Colombari

Troisième partie de cette série, avec un retour sur sept joueurs passés des vestiaires à l’infirmerie, sans billet de retour. D’une triple fracture à l’avant-bras aux douleurs lombaires, les blessures auront brisé net des trajectoires qui auraient pu être encore plus belles.

Hommage à Pierre Cazal