Maillots

Ici, on parle textile, mais pas seulement : les maillots n’ont pas seulement une couleur (ou plusieurs), ils ont aussi une histoire, un numéro, un nom dans le dos, un discours marketing et un coût. Ce qu’ils n’ont pas, c’est un sponsor, mais jusqu’à quand ? Telle est la question.

Tous les porteurs du numéro 10 en équipe de France

Publié le 10 octobre 2025 - Bruno Colombari

Depuis 1945, 112 joueurs différents ont porté le numéro 10 en Bleu, sans pour autant occuper les fonctions d’un meneur de jeu. Si Zidane arrive largement en tête, Platini n’est que quatrième, derrière Mbappé et Benzema, deux attaquants de pointe.

Tableau des numéros de maillots de l’équipe de France

Publié le 6 octobre 2025 - Matthieu Delahais

Depuis le 26 mai 1945, 655 joueurs ont porté un maillot avec l’un des 32 numéros utilisés à ce jour par l’équipe de France. Lesquels ont toujours eu le même numéro ? Lesquels en ont toujours changé ? Et aussi les numéros les plus utilisés et ceux à usage unique.

Un 10 dans le dos : de Faubert à Mbappé (depuis 2006)

Publié le 10 septembre 2025 - Bruno Colombari

Christopher Nkunku est le dernier en date nouveau porteur du numéro 10. Depuis que Zidane l’a libéré en juillet 2006, ils sont 14 à l’avoir porté. Hormis Benzema et Mbappé, pour les autres il a plus été porte-poisse que trèfle à quatre feuilles.

Mbappé en double 10, quels précédents en Bleu ?

Publié le 30 juillet 2025 - Bruno Colombari

Pour sa deuxième saison au Real Madrid, Kylian Mbappé hérite du numéro 10 libéré par Luka Modric. Le capitaine des Bleus aligne ainsi ses deux maillots, en club et en sélection. Comme Platini avant lui, mais ni Zidane ni Kopa.

En 2026, des Bleus en vert ?

Publié le 1er mai 2025 - Matthieu Delahais

Le site footyheadlines annonce que le maillot extérieur de l’équipe de France serait vert menthe lors de la Coupe du monde 2026. S’il faudra attendre un an pour en avoir la confirmation, cette nouvelle confirme que même les sélections nationales ne sont plus à l’abri des délires chromatiques des designers.

La Coupe du monde idéale