Première partie d’une série sur la façon dont s’est terminée la carrière d’une trentaine d’internationaux. En commençant par ceux, et pas des moindres, qui sont partis dans l’anonymat, sans savoir qu’ils jouaient leur dernier match.
Un nom sur un maillot
931 joueurs ont porté au moins une fois le maillot de l’équipe de France. De Jurietti, dont la carrière internationale a duré 8 secondes, à Lilian Thuram, qui a joué plus de 194 heures, tous ont une histoire qui mérite d’être racontée, ainsi que celle de quelques illustres adversaires. Retrouvez dans cette rubrique des portraits individuels ou collectifs, avec des statistiques inédites.
Ainsi s’achèvent les carrières (2) : en phase finale
Deuxième partie de cette série, consacrée aux joueurs qui ont quitté l’équipe de France à l’occasion d’une phase finale d’Euro ou de Coupe du monde. Certains l’ont même fait au terme d’une finale...
Ainsi s’achèvent les carrières (3) : sur blessure
Troisième partie de cette série, avec un retour sur sept joueurs passés des vestiaires à l’infirmerie, sans billet de retour. D’une triple fracture à l’avant-bras aux douleurs lombaires, les blessures auront brisé net des trajectoires qui auraient pu être encore plus belles.
Les premiers Bleus : Paul-Edouard Mathaux, une histoire d’épiciers
Cinq fois international l’année de ses vingt ans, en 1908, Paul-Edouard Mathaux n’a pas laissé beaucoup de traces en équipe de France. Il fait partie de ces internationaux de circonstance, bien aidé par André Billy qui sélectionnera des joueurs nordistes plutôt que parisiens.
François Remetter : c’était le doyen des Bleus
Le gardien titulaire de l’équipe de France au départ de la Coupe du monde 1958 a été aussi champion du monde militaire 1949, puis a accompagné les Bleus en Argentine en tant que représentant d’Adidas. Il est mort à 94 ans et 55 jours, alors qu’il était le doyen des Bleus.
Les premiers Bleus : Raymond Jouve et la consigne oubliée
Initialement affublé du prénom Albert, Raymond Jouve est l’un des nombreux éphémères des Bleus en 1906. Son unique sélection contre la Belgique aurait pu être l’acte de naissance du gegenpressing…