C’est chronologiquement le deuxième adversaire de l’équipe de France en Coupe du monde (en 1930), croisé à nouveau en 1978, encore au premier tour, et en 2018, lors d’un huitième de finale riche en rebondissements. Et enfin en décembre 2022, pour la quatrième finale des Bleus, terminée aux tirs au but après un duel homérique Mbappé-Messi, cinq buts à eux deux.
En 2026, l’équipe de France va tenter d’atteindre la finale de la Coupe du monde pour la troisième fois consécutive. Jouer trois finales mondiales à la suite, est-ce déjà arrivé ? Qu’est-il arrivé aux sélections qui en ont disputé deux de rang mais qui ont échoué dans leur troisième tentative ?
Il existe depuis 2008, et à la différence des étoile qui persistent, l’insigne de champion du monde n’est porté que par la sélection tenante du titre. Après l’Italie, l’Espagne, l’Allemagne et la France, c’est l’Argentine qui l’a inauguré le 18 décembre dernier à Doha.
Match étrange et insaisissable que cette finale de Coupe du monde que les Bleus ont failli gagner après l’avoir perdue, sans mener une seule minute. On y revient dans le détail, avec des bonus statistiques.
Qualifier Argentine-France 2022 de plus belle finale de tous les temps a étonné pas mal de connaisseurs. Trois semaines plus tard, une fois l’émotion du moment retombée, où placer ce match parmi les 21 qui l’ont précédé ?
Six ans après le Portugal, seize ans après l’Italie, la défaite face à l’Argentine est-elle plus dure à avaler ? Comparons les adversaires, le niveau des Bleus, le parcours des finaliste et le niveau de jeu des trois finales.
Comment expliquer l’instabilité tactique de l’équipe de France de Didier Deschamps ? Pourquoi cette absence d’identité de jeu claire et assumée ? Que nous apprend la Coupe du monde 2022 et notamment sa finale ?
