L’enceinte de Saint-Denis, qui a vécu trois finales avec les Bleus, a accueilli l’équipe de France pour la centième fois contre Andorre. Premier volet de notre série sur les trois principaux stades des Bleus depuis 1904.
Histoire du Stade de France

Du champêtre Vivier d’Oie de Bruxelles et sa tribune en stuc en 1904 à l’ultramoderne (couvert et chauffé) Krestovski de Saint-Petersbourg, l’équipe de France a évolué dans plusieurs centaines de stades, en France et à l’étranger. Eux aussi ont leurs stats inédites, leurs anecdotes amusantes et leurs souvenirs heureux ou malheureux.
L’enceinte de Saint-Denis, qui a vécu trois finales avec les Bleus, a accueilli l’équipe de France pour la centième fois contre Andorre. Premier volet de notre série sur les trois principaux stades des Bleus depuis 1904.
Il y a eu un Bolivie-France à La Paz, mais c’était avec les équipes U18. Dans un stade Hernando Siles plein, à 3600 mètres d’altitude, avec en invités d’honneur Jacques Chirac et Michel Platini.
Soixante ans avant la construction du Stade de France à Saint-Denis, le maire de Puteaux, député du Front populaire, l’appelait déjà de ses voeux dans les colonnes de Paris-Soir. Mais la Deuxième Guerre mondiale allait être fatale au journal et à l’auteur.
Il a commenté sur place tous les matchs de l’équipe de France à la radio pour RFI : de Istra à Moscou en passant par Kazan et Nijni-Novgorod, Antoine Grognet a vécu un mois de folie en Russie. Il nous raconte.
Saint-Petersbourg nouvelle destination, la Russie porte-bonheur des Bleus (ou pas), Presnel Kimpembe 901e et le premier but sur coup franc de Pogba : les tableaux de bord ont attendu le printemps pour prendre le Palais d’hiver.
Le Stade de France a vingt ans le 28 janvier 2018. Il est depuis 2016 l’enceinte la plus utilisée de l’histoire de la sélection (92 fois) devant Colombes (83) et l’actuel Parc des Princes (76).