Les Bleus font leur révolution culturelle à Wembley, mais trop tard. Les Beatles quittent la scène en Californie, la France commence les essais nucléaires en Polynésie et de Gaulle plaide pour l’autodétermination au Viêt Nam. Ça se passe comme ça en 1966.
Cette année-là
Vous prenez une année, vous la retrournez dans tous les sens, vous en décrivez le contexte, les protagonistes et les rebondissements. Une nouvelle année tous les deux mois, piochée dans un intervalle multiple de dix ans par rapport à l’année en cours. Et aussi le bilan complet des années récentes, depuis 2010.
1956, une année dans le siècle
Nasser, Bardot, Khrouchtchev, Mimoun, mais aussi les débuts de Rachid Mekhloufi, la dernière sortie de la grande équipe de Hongrie et le quintuplé de Thadée Cisowski : 1956, année nostalgique.
2015, un bilan en bleu (6/6) : et quoi d’neuf, docteur ?
Le coup franc transformé par Valbuena, les quatre buts encaissés par Lloris contre la Belgique, le doublé express de Giroud et l’attaque U20 Martial-Coman : il s’en est passé des choses en 2015, finalement.
2015, un bilan en bleu (5/6) : l’attaque
Quatre débutants et deux retours : Deschamps a chamboulé son attaque cette année, et il a bien fait, car l’affaire Benzema-Valbuena aura sûrement des conséquences pour l’Euro. Et l’éclosion de Martial est une excellente nouvelle.
2015, un bilan en bleu (4/6) : le milieu
Aucun nouveau joueur n’a été lancé dans l’entrejeu, mais l’un d’eux a fait un retour fracassant : Lassana Diarra complète désormais le trio de titulaires derrière un Matuidi impérial et un Pogba dispersé.
2015, un bilan en bleu (3/6) : la défense
Trois gardiens, onze défenseurs, un seul nouveau : Deschamps a joué l’expérience cette année et pourrait partir à l’Euro avec les mêmes qu’en 2014, ou presque. Le changement, c’est pour plus tard.