C’est le secteur de jeu le plus stable des Bleus en 2024, puisque cinq joueurs (Maignan, Koundé, Saliba, Upamecano et Théo Hernandez) ont monopolisé les titularisations, en particulier à l’Euro. Mais deux autres, Konaté et Digne, devraient faire jouer la concurrence l’an prochain.

Difficile d’imaginer une année aussi compliquée pour le sélectionneur : départ des deux derniers centenaires en activité, capitaine en méforme puis absent, Euro déprimant…

Triste année que celle des 40 ans du premier titre, avec un Euro raté, des amicaux décevants et une Ligue des Nations sur courant alternatif. Mais des ouvertures de score ultra rapides...

Entré dans l’histoire pour son égalisation miraculeuse contre l’Italie en 2000, c’est le remplaçant le plus célèbre des Bleus. Polyvalent, efficace, Sylvain Wiltord mérite bien un portrait pour ses quarante ans.

Jouer tous les matchs de l’équipe de France d’une année civile, c’est assez fréquent, même s’il y en a beaucoup. En 2024, Jules Koundé a joué 16 fois, mais il est dépassé au temps de jeu par Mike Maignan, qui a manqué une seule rencontre.

Après avoir vu le décollage de sa carrière contrarié par des mauvais choix, Jean-Clair Todibo a connu deux sélections en équipe de France A, mais le sélectionneur ne fait plus appel à lui depuis fin 2023.

Quel est le record de buts marqués en une année par un seul joueur ? Quel est le meilleur buteur de l’année depuis 1904 ? Qui l’a été le plus souvent ? Ce tableau répond à toutes vos questions.

Ils sont plus de 360 à être entrés au moins une fois en cours de match avec les Bleus. Certains en ont même fait une spécialité, d’autres ont fait basculer des matches. Retrouvez-les dans un tableau inédit et irremplaçable.

Il y a ceux qui n’ont jamais été titulaires, les précoces, les tardifs, les buteurs et les remplacés. Et tout en haut de ce classement, il y a Olivier Giroud et les trois héros d’un soir d’été à Rotterdam : Pirès, Wiltord et Trezeguet, ce dernier désormais dépassé par Moussa Sissoko.

Nés à deux mois d’intevalle, les deux gamins formés à l’AS Monaco ont entraîné toute la génération 77 derrière leurs titres de champion du monde et d’Europe. Trois autres ont failli les imiter en 2006.