Après sa prestation convaincante pendant une heure contre la Pologne, Bradley Barcola semble être devenu un peu plus qu’un remplaçant pour la suite de l’Euro. Entre la révélation de Ribéry en 2006 et l’anonymat de Cabella en 2014, où se situe l’attaquant parisien ?
2014
Brève histoire des années en 4 (2/2) : de 1964 à 2014
Deuxième partie de la série sur les années se finissant par un 4 (comme 1904 ou 2024) à l’occasion des 120 ans de l’équipe de France. Depuis 1964 et la mise en place d’un sélectionneur unique, les Bleus ont franchi de nombreuses étapes, notamment un premier titre remporté en 1984.
2014, un bilan en bleu (6/6) : et quoi d’neuf docteur ?
Quatre nouveaux joueurs, trois nouveaux buteurs, deux nouveaux adversaires, une nouvelle ville d’accueil et zéro vice-champions du monde 2006 : ce qui a changé ou pas en 2014 chez les Bleus.
2014, un bilan en bleu (5/6) : les matches
Avec 10 victoires et 34 buts marqués, 2014 est une belle année pour les Bleus. qui ont toutefois perdu le match qu’il ne fallait pas perdre. Mais rien que pour la première mi-temps éblouissante contre la Suisse, le voyage au Brésil valait le coup.
2014, un bilan en bleu (4/6) : les attaquants
C’est dans ce secteur de jeu que se cache la trouvaille de l’année : Antoine Griezmann est arrivé au moment idéal pour s’installer à la place de Franck Ribéry. Pour le reste, Benzema et Giroud sont toujours aussi peu complémentaires.
2014, un bilan en bleu (3/6) : les milieux
C’est le secteur de jeu le plus stable cette année. Prenez Cabaye en sentinelle, placez Matuidi en relayeur à gauche et Pogba en meneur à droite, vous obtenez le cœur du 4-3-3 modèle 2014.