Ils sont internationaux tricolores et joueurs de champ, mais un jour, ils se sont retrouvés à garder les buts de leur équipe de club, mais aussi, dans les temps héroïques, de la sélection nationale.
Les Bleus gardiens d’occasion

Ils n’ont pas le même maillot, mais ils ont la même passion : jamais l’équipe de France n’a été titrée sans un très grand gardien, que ce soit Joël Bats, Fabien Barthez ou Hugo Lloris. Mais il y en a beaucoup d’autres qui ont vécu des histoires étonnantes, souvent drôles, parfois tragiques.
Ils sont internationaux tricolores et joueurs de champ, mais un jour, ils se sont retrouvés à garder les buts de leur équipe de club, mais aussi, dans les temps héroïques, de la sélection nationale.
C’est la deuxième fratrie de l’histoire des Bleus : en 1908, André Renaux et son cadet Charles ont joué un match en sélection (mais pas le même). Fils d’un courtier dans l’industrie lainière, ils survivront au premier conflit mondial.
Le gardien titulaire de l’équipe de France au départ de la Coupe du monde 1958 a été aussi champion du monde militaire 1949, puis a accompagné les Bleus en Argentine en tant que représentant d’Adidas. Il est mort à 94 ans et 55 jours, alors qu’il était le doyen des Bleus.
Trente centimètres et un siècle séparent Maurice Guichard d’Alphonse Areola. Puisqu’il y a eu des gardiens petits et des gardiens grands, sans corrélation avec leur talent, classons-les à la verticale.
Le deuxième gardien de l’équipe de France, et le premier international sorti en cours de match, a connu une carrière brève mais étonnante, entre deux séjours à l’étranger, en Angleterre et en Asie. Etait-il le fils d’un diplomate ?
Mike Maignan va devenir le gardien titulaire des Bleus en 2023, après la fin de carrière de Hugo Lloris. Que s’est-il passé dans l’intervalle entre Bats et Barthez, puis entre Barthez et Lloris ? Quels gardiens ont fait la liaison ?