Le stade olympique de Mexico est le théâtre d’un huitième de finale de la Coupe du monde 1986 où la France disposa de l’Italie. Mais il est surtout un stade chargé d’histoire.
Estadio Olimpico Universitario, un stade dans l’histoire des Bleus

Du champêtre Vivier d’Oie de Bruxelles et sa tribune en stuc en 1904 à l’ultramoderne (couvert et chauffé) Krestovski de Saint-Petersbourg, l’équipe de France a évolué dans plusieurs centaines de stades, en France et à l’étranger. Eux aussi ont leurs stats inédites, leurs anecdotes amusantes et leurs souvenirs heureux ou malheureux.
Le stade olympique de Mexico est le théâtre d’un huitième de finale de la Coupe du monde 1986 où la France disposa de l’Italie. Mais il est surtout un stade chargé d’histoire.
Lors de la Coupe du monde 1986 au Mexique, l’équipe de France dispute ses trois rencontres du premier tour à León, dans un stade de 31 000 places parfois surnommé le Nou Camp.
Le White City Stadium de Londres est le premier stade où l’équipe de France a disputé un match de compétition. Celui où elle a également pris la plus grande dérouillée de son histoire. Elle y revenue 58 ans après pour jouer un match de Coupe du monde.
C’est à Hampden Park, à Glasgow, que l’équipe de France a connu la plus grande affluence de son histoire. Le stade national écossais évoque toutefois peu de bons souvenirs à l’équipe de France. Tout comme au football français dans son ensemble.
Le Stade Josy-Barthel à Luxembourg est l’une des enceintes étrangères les plus fréquentées par l’équipe de France au cours de son histoire. Il sera détruit en 2022.
Le stade Råsunda à Solna, près de Stockholm, fut le théâtre de la première demi-finale mondiale de l’équipe de France en 1958. Un stade aujourd’hui disparu que les Tricolores ont beaucoup fréquenté, mais qui ne leur a pas souvent réussi.