Les phases éliminatoires de la Coupe du monde, tout comme celles de l’Euro, ne passionnent plus vraiment les foules. L’UEFA cherche une solution pour redynamiser ces phases essentielles.
Vers une refonte des phases éliminatoires ?
La principale compétition du football mondial a été inventée par le Français Jules Rimet. 21 éditions ont eu lieu depuis 1930 tous les quatre ans (sauf 1942 et 1946). Le Brésil (5), l’Allemagne et l’Italie (4) dominent le palmarès où figurent aussi la France, l’Argentine et l’Uruguay (2) ainsi que l’Espagne et l’Angleterre (1). La prochaine édition aura lieu au Qatar en novembre-décembre 2022.
Les phases éliminatoires de la Coupe du monde, tout comme celles de l’Euro, ne passionnent plus vraiment les foules. L’UEFA cherche une solution pour redynamiser ces phases essentielles.
Privé au dernier moment de Tchouaméni, Deschamps a choisi de rappeler Kanté et Zaïre-Emery au milieu et Kolo Muani en attaque, où Mateta, Akliouche et Ekitiké sont toujours là.
Le 19 juillet 2026, le trophée imaginé par le sculpteur italien Silvio Gazzaniga sera remis pour la quatorzième fois au capitaine vainqueur de la Coupe du monde. A l’occasion du neuvième anniversaire de la mort de l’artiste, retour les réactions des Français qui ont touché le trophée.
Steven Nzonzi est probablement le plus méconnu des champions du monde 2018. Remplaçant idéal, sa carrière en bleu a été courte et tardive, mais riche du plus beau des trophées.
L’équipe de France a beau totaliser désormais 800 buts marqués en compétition, il lui en a manqué un à Reykjavik pour l’emporter. Mateta et Nkunku ont au moins permis que les Bleus restent invaincus contre l’Islande. Les tableaux de bord sont avant tout pragmatiques.
L’Ukraine ayant gagné, la qualification n’était pas possible à Reykjavik. Mais l’équipe de France avec une attaque C a encore pioché en première mi-temps avant de mieux finir, mais en laissant deux points en route (2-2).