Deuxième partie de cette série, consacrée aux joueurs qui ont quitté l’équipe de France à l’occasion d’une phase finale d’Euro ou de Coupe du monde. Certains l’ont même fait au terme d’une finale...
Luis Fernandez
C’est le numéro 6 du carré magique de 1984-1986. Né à Tarifa (Espagne) le 2 octobre 1959, il fait ses débuts en équipe de France en octobre 1982 et devient très vite indispensable. Avec lui, les Bleus sont champions d’Europe en 1984 et finissent troisièmes de la Coupe du monde 1986. C’est lui qui égalise contre l’URSS au premier tour et qui marque le dernier tir au but contre le Brésil en quart. Devenu cadre lors de l’après-Platini, il est vice-capitaine à partir de 1988. Il termine sa carrière internationale à l’Euro 1992 (60 sélections, 6 buts). En club, il a fait l’essentiel de sa carrière à Paris (PSG puis Matra Racing) avant de finir à l’AS Cannes.
L’apogée du carré magique
Patrick Lemoine raconte chez Solar les cinq matchs de l’Euro 1984 à travers les témoignages de Michel Platini, Alain Giresse, Jean Tigana, Luis Fernandez et Bernard Genghini, avec les stats de l’agence Opta.
Les assidus : ils n’en manquent pas une !
Ceux-là parviennent à faire leur trou en sélection et n’en bougent plus. Ils enchaînent les matchs par dizaines, jamais absents, rarement remplaçants, parfois remplacés. De Vieira à Griezmann, voici les assidus en Bleu.
Les bicyclettes bleues : brève histoire des volées acrobatiques
On les appelle aussi ciseaux, ou papinades. Certains s’en sont fait une spécialité en équipe de France, comme Amara Simba, Luis Fernandez et bien sûr Jean-Pierre Papin. Récemment, Olivier Giroud, Antoine Griezmann, Blaise Matuidi ou Florian Thauvin ont repris le flambeau.
Les Bleus gardiens d’occasion
Ils sont internationaux tricolores et joueurs de champ, mais un jour, ils se sont retrouvés à garder les buts de leur équipe de club, mais aussi, dans les temps héroïques, de la sélection nationale.
Ce que l’équipe de France doit au Paris Saint-Germain
Le Paris Saint-Germain a toujours été friand de vedettes étrangères, mais aussi d’internationaux français de premier plan. Lesquels furent les plus marquants ?