Kopa, Zidane, Deschamps ou Barthez ne l’ont jamais remportée, contrairement à Fernandez ou Blanc qui ont levé plusieurs Coupes de France comme joueur puis entraîneur. Kylian Mbappé en a remporté trois.
Jean Vincent
Ailier gauche aussi technique qu’altruiste, Jean Vincent est né le 29 novembre 1930 à Labeuvrière et est mort le 13 août 2013 à Saint-Nazaire. Il s’impose au Stade de Reims et en équipe de France au milieu des années 50, associé à Just Fontaine et Roger Piantoni. En 1958, il recule d’un cran aux côtés de Raymond Kopa afin d’assurer des tâches défensives dans une équipe portée vers l’attaque. Il compte 46 sélections et 22 buts marqués. Il deviendra entraîneur du FC Nantes en 1976 puis sélectionneur du Cameroun en 1982.
Les bicyclettes bleues : brève histoire des volées acrobatiques
On les appelle aussi ciseaux, ou papinades. Certains s’en sont fait une spécialité en équipe de France, comme Amara Simba, Luis Fernandez et bien sûr Jean-Pierre Papin. Récemment, Olivier Giroud, Antoine Griezmann, Blaise Matuidi ou Florian Thauvin ont repris le flambeau.
Les Bleus gardiens d’occasion
Ils sont internationaux tricolores et joueurs de champ, mais un jour, ils se sont retrouvés à garder les buts de leur équipe de club, mais aussi, dans les temps héroïques, de la sélection nationale.
Daniel Ollivier : “Pour Jean Vincent, rien de plus beau que de porter le maillot bleu frappé du coq”
Daniel Ollivier consacre son dernier ouvrage, “Jean Vincent, la passion du football” (éditions Eric Jamet) à l’un des plus grands joueurs du football français. Nous revenons avec lui sur sa carrière en équipe de France.
Jean Vincent, la passion du bleu
A l’occasion de la sortie d’une biographie qui lui est consacrée (“Jean Vincent, la passion du football” de Daniel Ollivier, éditions Eric Jamet), retour sur la carrière en bleu d’un des meilleurs attaquants de l’histoire du foot français.
Ainsi s’achèvent les carrières (1) : dans l’anonymat
Première partie d’une série sur la façon dont s’est terminée la carrière d’une trentaine d’internationaux. En commençant par ceux, et pas des moindres, qui sont partis dans l’anonymat, sans savoir qu’ils jouaient leur dernier match.