La psychanalyste Sabine Callegari a cherché à comprendre le mystère Zidane, l’homme derrière le joueur. Une enquête spéculative mais écrite avec style et empathie chez Nouveau Monde éditions.
Dans la tête de Zidane

Né le 23 juin 1972 à Marseille, Zinédine Zidane est considéré comme l’un des plus grands joueurs français de tous les temps, aux côtés de (ou juste après) Michel Platini. Il débute en sélection le 17 août 1994 contre la République tchèque (2-2) où il signe un doublé en tant que débutant-buteur. Il quitte les Bleus douze ans plus tard, le 9 juillet 2006 par une finale de Coupe du monde contre l’Italie, où il est à nouveau buteur (sur pénalty et expulsé.
Au cours de ses 108 sélections, il est le 88e capitaine des Bleus et portera le brassard 27 fois. entre 2001 et 2006. Il inscrit 31 buts en sélection, dont 3 en finales de Coupe du monde. Il obtient le Ballon d’or en 1998 et fera un très brillant Euro 2000. Il quitte les Bleus pendant un an après l’Euro 2004, puis revient et les amène jusqu’en finale de la Coupe du monde 2006.
Au terme de sa carrière en club qui l’a vu passer de Cannes au Real Madrid en passant par Bordeaux et la Juventus, il remporte trois Ligues des Champions consécutives comme entraîneur du Real (2016, 2017 et 2018) et il est régulièrement cité comme successeur probable de Didier Deschamps à la tête des Bleus.
La psychanalyste Sabine Callegari a cherché à comprendre le mystère Zidane, l’homme derrière le joueur. Une enquête spéculative mais écrite avec style et empathie chez Nouveau Monde éditions.
Trente buts en sélection : ils sont huit seulement à avoir atteint ce seuil, dont cinq à l’avoir dépassé. Entre Griezmann, Papin, Fontaine, Zidane, Trezeguet, Giroud, Platini et Henry, il y a match.
Raymond Kopa au Real Madrid en 1956, Michel Platini à la Juventus en 1982, Zinédine Zidane à la Juventus en 1996 et au Real en 2001 : en quoi l’arrivée dans un très grand club a influencé leur carrière en équipe de France ?
Pour la deuxième fois de sa carrière, Kylian Mbappé a perdu une finale, en Coupe de France contre Rennes, carton rouge à l’appui. Avant lui, Kopa, Platini, Zidane et Griezmann ont aussi échoué sur la dernière marche. Et ils s’en sont remis.
Dernière partie de cette série consacrée aux adieux internationaux : les rares cas où un hommage a été rendu sur le terrain au partant. Ils sont huit à y avoir eu droit, mais seulement quatre en tant que joueurs en activité.
Après Deschamps en 2000, Desailly en 2002, Thuram en 2004, Zidane et Vieira en 2006 et Henry en 2008, Hugo Lloris est devenu contre l’Australie le septième Bleu à atteindre les cent sélections. Test comparatif.