Après une absence de 27 ans, l’équipe de France a rejoué en décembre, et plutôt quatre fois qu’une lors de la Coupe du monde au Qatar. De quoi améliorer le bilan d’un mois qui n’était pas brillant jusqu’alors.
Décembre dans la cheminée

L’histoire des Bleus racontée en coupe verticale, en prenant un mois de l’année et en regardant ce qui s’y est passé depuis 1904. Certains mois sont plus fastes que d’autres...
Après une absence de 27 ans, l’équipe de France a rejoué en décembre, et plutôt quatre fois qu’une lors de la Coupe du monde au Qatar. De quoi améliorer le bilan d’un mois qui n’était pas brillant jusqu’alors.
Si l’équipe de France a joué à chacun des douze mois de l’année, tous ne sont pas égaux dans le calendrier. Certains ont été longtemps délaissés, et cinq d’entre eux ne sont plus utilisés aujourd’hui. Mais ce ne sont pas les mêmes…
Mois le plus pauvre de l’année en matches des Bleus, juillet est aussi celui de Séville, Saint-Denis, Rotterdam, Berlin et Moscou : sommets du jeu, montagnes russes émotionnelles, larmes et champagne, fêtes nationales et soirs de drame. Mais pas en 2021.
Longtemps ignoré du calendrier international, le mois d’août a ensuite accueilli des amicaux contre des clubs, donc officieux. Puis il a lancé la saison pendant un quart de siècle, avant d’être à nouveau délaissé.
Mai. Le mois où, un an sur deux, les Bleus préparent une phase finale. La pléthore de matches amicaux joués en mai (80, contre 10 en compétition) n’est pas pour autant favorable à l’équipe de France, qui en a perdu près de la moitié. Plus pavé que muguet, donc.
Les Bleus ne jouent plus en avril, et au vu de leurs statistiques, on comprend pourquoi : à peine plus d’un tiers de matches gagnés, des défaites à la pelle. Plutôt que se faire sonner les cloches, l’équipe de France préfère ne pas se découvrir d’un fil.