Raymond Kopa

C’est le premier joueur de classe mondiale de l’histoire du football français. Né le 13 octobre 1931 à Nœux-les-Mines, mort le 3 mars 2017 à Angers. Finaliste de la première Coupe d’Europe des Clubs avec Reims en 1956, transféré au Real Madrid juste après, triple champion d’Europe, il entraîne dans son sillage l’équipe de France à la coupe du monde 1958 et remporte le premier Ballon d’Or français six mois plus tard. C’est l’un des trois meilleurs joueurs français de tous les temps avec Michel Platini et Zinédine Zidane.

1962, une année dans le siècle

Publié le 31 mars 2012 - Bruno Colombari

Les débuts fracassants de Fleury Di Nallo, les adieux de Kopa, un bon nul en Angleterre et une tactique à géométrie variable : c’était 1962, avant-dernière année du siècle terminée sans victoire.

1952, une année dans le siècle

Publié le 21 janvier 2012 - Bruno Colombari

Suite de notre série rétro avec l’année qui vit débuter en Bleu Raymond Kopa et Roger Piantoni dans un groupe qui préfigure celui qui finira troisième de la coupe du monde six ans plus tard.

Histoire des France-Brésil (1) : de Pelé à Platini

Publié le 2 février 2011 - Bruno Colombari

C’est le rendez-vous des puristes, la quintessence de l’art, l’instant de tous les possibles : un France-Brésil, ça ne se raconte pas, ça se revit. La première partie nous amène de Solna, Suède, à Guadalajara, Mexique, de Pelé à Platini et de Kopa à Careca.

Jean Vincent, au temps du blue suede show

Publié le 29 novembre 2010 - Bruno Colombari

Mort le 13 août 2013 à 82 ans, Jean Vincent fut l’ailier gauche de la première grande équipe de France, celle de 1958, et l’un éléments du carré magique de l’époque avec Kopa, Fontaine et Piantoni.

Les Bleus sans numéro 10, ça donne quoi ?

Publié le 4 novembre 2010 - Bruno Colombari

Depuis l’après-guerre, l’équipe de France n’a joué qu’une coupe du monde sans meneur de jeu. C’était en 1966 en Angleterre, et cette année-là, le Mexique et l’Uruguay avaient largement contribué à éliminer les Bleus d’entrée. Sans un joueur du niveau de Kopa, Platini ou Zidane, la France a-t-elle une chance d’aller loin ?

Générations bleues