Pour la génération née après 1998, la Coupe du monde 2006 est la première à avoir laissé des traces dans les mémoires. D’où une certaine nostalgie... Mais pourquoi ne pas casser les codes et imaginer un tournoi à vingt, avec un tour en moins à jouer pour les premiers de groupes ?
La Coupe du monde idéale
Dans cette série de sept articles publiés en octobre 2022, chaque membre de la rédaction décrit comment il imagine sa Coupe du monde idéale et ce qu’il ferait si la FIFA lui demandait de la proposer. Combien de participants ? Quel format ? Quelle durée ? Quels critères d’attribution ? Quelle fréquence et quelle saisonnalité ?
La Coupe du monde idéale : et si on faisait des équipes mixtes ?
En partant du constat désabusé que la Coupe du monde idéale n’existe pas, il est possible de lâcher la bride à l’imagination et d’inventer un tournoi à huit sélections, se déroulant dans une seule ville et avec des équipes mixtes. Et pourquoi pas ?
La Coupe du monde idéale : et si on changeait la répartition des continents ?
En gardant la formule actuelle à 32 participants, il serait possible de faire quelques ajustement : une répartition continentale différente et un cahier des charges beaucoup plus strict pour le pays organisateur.
La Coupe du monde idéale : et si on la jouait en deux temps ?
Voilà encore une proposition étonnante dans une série qui n’en manque pas : 40 pays qualifiés se départagent à l’automne par groupes de cinq dans huit pays organisateurs. Les 16 meilleurs classés se retrouvent en juin pour un tournoi à élimination directe uniquement.
La Coupe du monde idéale : un format court en année impaire ?
Plutôt que le gigantisme, la compacité, avec 16 équipes qualifiées et uniquement des matchs à élimination directe, sur quinze jours. Plutôt que la rareté, la fréquence avec une édition tous les deux ans et seulement cinq qualifiés européens.
La Coupe du monde idéale : pour un retour à seize équipes ?
Dans la série d’articles proposant des idées pour une Coupe du monde idéale, nous proposons aujourd’hui de mettre fin au gigantisme de l’épreuve et de revenir au format initial de seize équipes.