Aurélien Tchouaméni est le trentième joueur à avoir été exclu lors d’un match de l’équipe de France. Parmi eux, trois récidivistes, neuf champions du monde, un gardien de but, trois avant-centres...
Manuel Amoros
Né le 1er février 1962 à Nîmes, Manu Amoros est le joker que Michel Hidalgo lance quatre mois avant la coupe du monde en Espagne. A vingt ans, l’arrière droit monégasque gagne sa place chez les Bleus et réalise une demi-finale pleine de culot contre l’Allemagne : son tir sur la transversale à une minute du temps réglementaire aurait pu envoyer la France en finale. Polyvalent, il peut jouer aussi bien dans le couloir droit que dans le gauche. Il devient recordman des sélections (82 capes) en 1992. Son influence décroît après 1986 alors qu’il aurait pu être un des cadres de l’après-Platini.
Ainsi s’achèvent les carrières (2) : en phase finale
Deuxième partie de cette série, consacrée aux joueurs qui ont quitté l’équipe de France à l’occasion d’une phase finale d’Euro ou de Coupe du monde. Certains l’ont même fait au terme d’une finale...
Les assidus : ils n’en manquent pas une !
Ceux-là parviennent à faire leur trou en sélection et n’en bougent plus. Ils enchaînent les matchs par dizaines, jamais absents, rarement remplaçants, parfois remplacés. De Vieira à Griezmann, voici les assidus en Bleu.
Ces Bleus qui débutent juste avant une Coupe du monde
Depuis 1978, vingt nouveaux internationaux ont été lancés entre janvier et mai d’une année de Coupe du monde. Si la plupart ont été retenus dans la liste finale, tous n’ont pas réussi leur carrière par la suite. Les buteurs et les passeurs sont toutefois bien représentés.
C’est avec eux que tout commence et que tout finit
Marche, Lacombe, Blanc et Barthez ont été les pionniers des équipes de 1958, 1984, 1998 et 2006. Douis, Fernandez, Amoros, Henry et Ribéry ont éteint la lumière en partant. Qui sont ceux de 2018 ?
Toucher du bois : quand les poteaux s’en mêlent
Avant la frappe de Gignac repoussée par le poteau dans la deuxième minute du temps additionnel contre le Portugal, les montants ont parfois aidé les Bleus, et parfois pas. Dix exemples célèbres.