Suite de notre série rétro avec l’année qui vit débuter en Bleu Raymond Kopa et Roger Piantoni dans un groupe qui préfigure celui qui finira troisième de la coupe du monde six ans plus tard.
1952, une année dans le siècle

Vous prenez une année, vous la retrournez dans tous les sens, vous en décrivez le contexte, les protagonistes et les rebondissements. Une nouvelle année tous les deux mois, piochée dans un intervalle multiple de dix ans par rapport à l’année en cours. Et aussi le bilan complet des années récentes, depuis 2010.
Suite de notre série rétro avec l’année qui vit débuter en Bleu Raymond Kopa et Roger Piantoni dans un groupe qui préfigure celui qui finira troisième de la coupe du monde six ans plus tard.
C’est l’année du 11 Septembre que les Bleus ont battu leurs records de distance en avion, avec des voyages au Japon, en Australie et au Chili. C’est aussi en 2001 qu’ils ont disputé le match le plus court de l’histoire contre l’Algérie. Et qu’ils ont sans doute atteint un sommet contre le Portugal.
Avec 1984, c’est la seule année de l’histoire des Bleus à ne compter que des victoires, mais il y eu très peu de matches (six). Dirigée par Michel Platini et bâtie pour le contre et le duo Papin-Cantona, l’équipe de France élimine la Tchécoslovaquie et surtout l’Espagne grâce à des victoires probantes à l’extérieur.
Cinq défaites, trente-deux joueurs utilisés, un schéma de jeu mal défini, mais aussi les prémisses du carré magique avec le retour de Giresse et deux victoires précieuses contre les Belges et les Hollandais, avec un coup-franc du Maestro en prime : c’était 1981, une année façon montagnes russes.
Après notre série sur les bilans mensuels des Bleus, en voici une nouvelle qui s’attachera à raconter une année entière de l’équipe de France en la replaçant dans son contexte historique et sportif. Pour la première, retournons il y a quarante ans, au tout début des seventies.