Le maillot de l’équipe de France version 2018 vient d’être présenté. Si la version blanche est correcte, la bleue est une fois de plus trop sombre, avec un curieux effet sur les manches.
Comme des manches

Vous prenez une année, vous la retrournez dans tous les sens, vous en décrivez le contexte, les protagonistes et les rebondissements. Une nouvelle année tous les deux mois, piochée dans un intervalle multiple de dix ans par rapport à l’année en cours. Et aussi le bilan complet des années récentes, depuis 2010.
Le maillot de l’équipe de France version 2018 vient d’être présenté. Si la version blanche est correcte, la bleue est une fois de plus trop sombre, avec un curieux effet sur les manches.
Au lieu de vous souhaiter une bonne année, posons plutôt les bonnes questions. Il y en a 18, logiquement. Et autant de réponses, qu’il sera amusant de relire à la fin de l’année. D’ici là, il se passera beaucoup de choses.
Finissons l’année comme nous l’avons commencée : en se posant des questions. Et en y apportant les (bonnes) réponses. J’en avais 7 justes, 6 fausses et 4 entre les deux. Pas trop mal, non ?
Le tour des nouveautés de l’année, de la première victoire à Rennes au premier 2-2 de DD en passant par la fin de l’invincibilité de Kanté, le premier nul contre le Luxembourg ou le premier Bleu post-1998.
Un de perdu (Gignac), un de retrouvé (Lacazette), deux nouveaux (Thauvin et Mbappé) et neuf de 2016 : Didier Deschamps a vu le champ des possibles s’élargir en attaque cette année. Maintenant, il va falloir choisir.
Si numériquement ce secteur de jeu est stable avec huit joueurs appelés, il a été profondément renouvelé avec trois nouveaux (Tolisso, Bakayoko et Nzonzi), quatre si on ajoute Rabiot qui avait débuté fin 2016.