Maxime Bossis, la décennie du Grand Max

Publié le 8 mai 2024 - Richard Coudrais

Maxime Bossis fut pendant l’une des décennies les plus glorieuses de l’équipe de France un titulaire indiscuté de la défense, comme latéral puis comme arrière central.

8 minutes de lecture

Maxime Bossis est une figure incontournable de l’équipe de France des années 1976-1986. Celle de Michel Hidalgo, aux côtés de Michel Platini, Dominique Rocheteau, Patrick Battiston et consorts. Champion d’Europe en 1984, demi-finaliste des Coupes du monde 1982 et 1986, le Grand Max était de tous les grands moments de la période Hidalgo et du début de l’ère Henri Michel.

Saint-André-Treize-Voies

C’est à l’occasion de la première rencontre dirigée par Michel Hidalgo, en mars 1976, qu’apparaît Maxime Bossis en équipe de France. Né le 26 juin 1955 à Saint-André-Treize-Voies, un village de Vendée aujourd’hui avalé par la commune nouvelle de Montréverd, Maxime Bossis évolue au FC Yonnais comme milieu de terrain avant de rejoindre le FC Nantes à l’âge de dix-sept ans.

Le club nantais l’avait repéré au sein des sélections régionales où on l’avait placé comme arrière latéral. José Arribas le fait débuter en pro un an plus tard, lors de l’été 1973, alors que le club canari vient d’être sacré champion de France. Devenu arrière latéral un peu par hasard, le Vendéen s’impose rapidement comme l’un des meilleurs spécialistes du poste du championnat.

La rencontre contre la Tchécoslovaquie est disputée le 27 mars 1976 au Parc des Princes dans une certaine indifférence (moins de 10.000 spectateurs dans l’enceinte, match diffusé sur FR3…). Elle est pourtant devenue une sorte de match historique. Outre Maxime Bossis, plusieurs joueurs y font leurs débuts en Bleu, parmi lesquels un jeune lorrain prometteur, Michel Platini, lequel marque d’ailleurs son premier but. Les autres débutants sont les Nantais Patrice Rio et Gilles Rampillon, coéquipiers de club de Bossis, ainsi que les attaquants Robert Pintenat et Didier Six.

En dépit d’une bonne prestation du Vendéen contre les Tchécoslovaques (2-2), Michel Hidalgo procède à d’autres essais aux deux postes d’arrières latéraux lors des rencontres suivantes. On voit défiler Raymond Domenech, Gérard Farison, Francis Meynieu et Gérard Janvion. Maxime Bossis est rappelé au début de la saison 1976-1977 pour entrer en jeu à la place de Christian Lopez lors de la rencontre face au Borussia Mönchengladbach (5-0).

Fracture à Saint-Étienne

A ses débuts, Maxime Bossis évolue à différents postes de la défense, mais c’est comme arrière latéral qu’il donne la pleine mesure de son talent, particulièrement sur le côté gauche. S’il semble raide et lent au premier abord, Max Bossis est pourtant doté de grandes qualités techniques et physiques. On dit qu’il défend debout, c’est-à-dire qu’il tacle peu. Il récupère un grand nombre de ballons et assure une relance très propre. Il aime en outre déborder sur son aile, provoquer le surnombre et utiliser son dribble pour ouvrir des brèches dans la défense adverse.

Le Nantais redevient titulaire à l’occasion du déplacement au Danemark (1-1) puis il est à Sofia pour la première rencontre éliminatoire de la Coupe du monde 1978 contre l’équipe de Bulgarie. Un autre match fondateur à la fin duquel Bossis voit le Bulgare Bonev s’écrouler devant lui et l’arbitre accorder un penalty qui fera sortir le commentateur de service de ses gonds.

Max Bossis et Gérard Janvion sont devenus les inamovibles latéraux de l’équipe de France. Mais en décembre 1976, la carrière du Nantais est brutalement mise à l’arrêt. A l’occasion d’un sommet du championnat à Saint-Étienne, il percute son coéquipier Patrice Rio et ne se relève pas. Victime d’une fracture du tibia droit, son absence est de cinq mois. Il ne réapparaît sur les terrains qu’au printemps, le temps d’aller glaner son premier titre de champion avec les Canaris.

Son retour convainc Michel Hidalgo de l’emmener pour la tournée des Tricolores en Amérique du Sud. Bossis est titulaire le jour de son 22e anniversaire à Buenos Aires, où les Bleus comptent six Nantais dans leur onze de départ. Il joue également à Rio de Janeiro contre le Brésil (2-2) et à Belo Horizonte contre l’Atletico Mineiro (1-3), où il est remplacé à la mi-temps par son coéquipier Omar Sahnoun.


 

Inamovible

Dès lors, Maxime Bossis ne manque presque plus un seul match des Tricolores de Michel Hidalgo. Il participe à la victoire 3-1 contre la Bulgarie qui ouvre la porte du Mundial argentin. Il fête sa dixième sélection contre le Brésil au Parc puis participe à la Coupe du monde en titulaire indiscutable. A l’image de son équipe, il souffre face à l’Italie (1-2) et l’ailier Franco Causio, puis fait un meilleur match contre l’Argentine, même s’il ne peut éviter la défaite (1-2).

A cette époque, Michel Hidalgo n’a pas d’équipe-type en tête. Il aime intégrer de nouveaux joueurs et tester les complémentarités. Seuls trois joueurs sont d’indiscutables titulaires : Marius Trésor, Michel Platini et Maxime Bossis. Le Nantais a la particularité d’avoir disputé en intégralité l’ensemble des matchs éliminatoires de l’Euro 1980 (6 rencontres) puis ceux de la Coupe du monde 1982 (8 rencontres). La carrière du Nantais en Bleu se déroule ainsi, dans la constance et sans heurt. Toujours appelé, toujours présent, toujours performant, rarement remplacé (trois fois en 76 sélections). Un joueur dont rêve tout entraîneur.

C’est à l’occasion de la Coupe du monde 1982 qu’à l’image de l’équipe de France, Maxime Bossis va prendre une nouvelle dimension. Ses performances tout au long du tournoi lui valent d’être considéré comme l’un des meilleurs arrières latéraux du monde. Il inscrit même un but, le seul de sa carrière en Bleu, à l’issue d’un match rocambolesque contre le Koweït. Il est bien entendu un des acteurs de la fabuleuse demi-finale de Séville contre la RFA, où il réalise une performance d’exception, avant de provoquer la chute de son équipe lorsque son tir au but est repoussé par Harald Schumacher. Plus jamais le Grand Max ne tirera de penalty.

Il est libre, Max

Au lendemain du Mundial espagnol, Max Bossis donne une nouvelle orientation à sa carrière. A Nantes, où il est devenu capitaine, il se positionne en défense centrale comme libéro, la place qu’occupait jusqu’alors le monument Henri Michel. En équipe de France, le poste est toujours la propriété de Marius Trésor et Bossis accepte alors encore de jouer latéral. Mais lorsque le Guadeloupéen se blesse, c’est le Vendéen qui est appelé à le remplacer.

Un match amical à Guimaraes contre le Portugal, en février 1983, est l’occasion de voir Bossis libéro de l’équipe de France. Il est associé en défense centrale au Stéphanois Philippe Mahut. Deux mois plus tard, au Parc des Princes, alors qu’il est pour la première fois capitaine en l’absence de Platini, il est associé à Yvon Le Roux. La garde vendéo-bretonne sera l’indéboulonnable charnière de l’équipe de France jusqu’au début de l’Euro 1984.

Lors du premier match du tournoi européen, Yvon Le Roux se blesse, ce qui oblige Michel Hidalgo à repenser sa défense. A Nantes, où les Tricolores font un match lumineux face à la Belgique (5-0), le sélectionneur fait de Max Bossis le patron d’une inédite défense à trois, avec Patrick Battiston et Jean-François Domergue, qui assure l’assise d’une équipe de France portée par un Platini au sommet de son art. La charnière Le Roux-Bossis est reconstituée en demi-finale contre le Portugal, puis à l’occasion de la finale victorieuse contre l’Espagne.

Après le départ de Michel Hidalgo, l’aventure continue avec le sélectionneur Henri Michel. Son ancien coéquipier confie à Bossis le brassard lors de sa première sortie au Parc contre l’Inter Milan (0-1). Lors des éliminatoires de la Coupe du monde 1986, le Nantais déplore sa première absence lors du déplacement en Yougoslavie en avril 1985. Il est remplacé par Patrick Battiston qui a suivi la même évolution, de latéral à défenseur central, et qui devient son concurrent le plus sérieux au poste de libéro.

Max et les ferrailleurs

A l’issue de la saison 1984-1985, alors qu’il compte déjà 64 sélections, Maxime Bossis défraie la chronique en quittant le FC Nantes pour rejoindre… un club de deuxième division. Certes, le Racing Club de Paris, régénéré par la firme Matra, est un club ambitieux, qui paye mieux que la plupart des clubs de première division. Le transfert choque toutefois les observateurs à un an de la Coupe du monde mexicaine.

Henri Michel garde toutefois toute sa confiance envers le néo-Racingman, premier international du club parisien depuis Guy Van Sam en 1961. Même s’il joue tous les week-end contre Abbeville, Limoges ou Dunkerque, Maxime Bossis reste performant quand il évolue en Bleu. Le 11 septembre 1985, à l’occasion d’un déplacement en RDA, il honore sa 66e sélection et bat le record de Marius Trésor. En fin d’année, on s’interroge toutefois sur ses capacités physiques. Il est contraint de sortir au bout d’une demi-heure lors d’une rencontre contre le Luxembourg (6-0) puis est forfait quinze jours plus tard pour la rencontre décisive contre la Yougoslavie (2-0).

L’idée d’une fin de carrière internationale prématurée n’est toutefois pas à l’ordre du jour au début de l’année 1986. Maxime Bossis reste le patron de la défense tricolore et le vice-capitaine des Bleus. Il porte le brassard en mars 1986 contre l’Argentine de Maradona. Henri Michel l’a associé en défense centrale à Patrick Battiston. Les deux hommes font preuve d’une complémentarité remarquable qui trouvera sa plénitude lors de la Coupe du monde 1986.

Tex Max

A León, contre le Canada, Maxime Bossis honore sa soixante-dixième sélection. Il est le premier joueur français de l’histoire à atteindre ce cap. Au Mexique, aux côtés de Battiston, Max Bossis se transforme en stoppeur et se charge notamment de l’avant-centre adverse. L’ancien Nantais livre des duels d’anthologie avec Igor Belanov, Sandro Altobelli et le Brésilien Careca. Alors que l’équipe de France semble marcher vers le titre mondial, elle retrouve en demi-finale l’équipe allemande de Rummenigge et Schumacher.

Un adversaire décidément maudit pour les Tricolores et particulièrement pour Max Bossis qui manque deux occasions nettes alors qu’il est seul face au gardien allemand. Deux occasions qu’un attaquant de métier aurait probablement concrétisé mais des situations auxquelles le Vendéen avait rarement été confronté.

L’équipe de France éliminée, le France-RFA de Guadalajara aurait dû être la dernière sélection de Maxime Bossis. Le Racingman avait annoncé avant le tournoi qu’il mettrait fin à sa carrière internationale à l’issue du Mundial mexicain. Il participe toutefois au match pour la troisième place à Puebla, deux jours après son trente-et-unième anniversaire. Il entre en jeu en début de deuxième mi-temps en remplacement de Le Roux qui s’est blessé. C’est sa 76e et dernière sélection [1].

Un max de sélections

Maxime Bossis compte 76 sélections (soit 6744 minutes de jeu selon le site FFF) auxquelles il faut ajouter 8 rencontres contre des clubs et autant de matchs de préparation. En dix ans, il a connu deux sélectionneurs, Michel Hidalgo et Henri Michel. Il a été capitaine à cinq reprises et buteur une seule fois (en 1982 contre le Koweït). Il n’a été remplacé que lors de quatre rencontres officielles, est entré une seule fois en jeu et est resté sur le banc en quatre occasions.

SelMatchDateLieuAdversaireScoreTpsJeuNotes
1 Amical 27/03/1976 Paris (Parc) Tchécoslovaquie 2-2 90
UNFP 24/08/1976 Paris (Parc) Borussia Moenchengladbach 5-0 > 30
2 Amical 01/09/1976 Copenhague Danemark 1-1 90
3 qCM 09/10/1976 Sofia Bulgarie 2-2 90
4 qCM 17/11/1976 Paris (Parc) Rep. d’Irlande 2-0 90
5 Amical 26/06/1977 Buenos Aires Argentine 0-0 90
6 Amical 30/06/1977 Rio de Janeiro Brésil 2-2 90
N/O 03/07/1977 Belo Horizonte Atletico Mineiro 1-3 45 >
UNFP 24/08/1977 Paris (Parc) Hambourg SV 4-2 90
7 qCM 16/11/1977 Paris (Parc) Bulgarie 3-1 90
8 Amical 08/02/1978 Naples Italie 2-2 90
9 Amical 08/03/1978 Paris (Parc) Portugal 2-0 90
10 Amical 01/04/1978 Paris (Parc) Brésil 1-0 90
11 Amical 11/05/1978 Toulouse Iran 2-1 90
12 CM T1 02/06/1978 Mar del Plata* Italie 1-2 90
13 CM T1 06/06/1978 Buenos Aires Argentine 1-2 90
UNFP 12/08/1978 Paris (Parc) Anderlecht 1-0 90
14 qEuro 01/09/1978 Paris (Parc) Suède 2-2 90
15 qEuro 07/10/1978 Luxembourg Luxembourg 3-1 90
16 qEuro 25/02/1979 Paris (Parc) Luxembourg 3-0 90
17 qEuro 04/04/1979 Bratislava Tchécoslovaquie 0-2 90
18 Amical 02/05/1979 East Rutherford Etats-Unis 6-0 80>
UNFP 21/08/1979 Paris (Parc) Bayern Munich 4-1 90
19 qEuro 05/09/1979 Solna Suède 3-1 90
20 Amical 10/10/1979 Paris (Parc) Etats-Unis 3-0 90
21 qEuro 17/11/1979 Paris (Parc) Tchécoslovaquie 2-1 90
22 Amical 26/03/1980 Paris (Parc) Pays-Bas 0-0 90
23 Amical 23/05/1980 Moscou URSS 0-1 90
UNFP 03/09/1980 Paris (Parc) Juventus 1-0 90
24 qCM 11/10/1980 Limassol Chypre 7-0 90
25 qCM 28/10/1980 Paris (Parc) Rep. d’Irlande 2-0 90
26 Amical 19/11/1980 Hanovre Allemagne 1-4 90
27 Amical 18/02/1981 Madrid Espagne 0-1 90
28 qCM 25/03/1981 Rotterdam Pays-Bas 0-1 90
29 qCM 29/04/1981 Paris (Parc) Belgique 3-2 90
30 Amical 15/05/1981 Paris (Parc) Brésil 1-3 90
UNFP 18/08/1981 Paris (Parc) VFB Stuttgart 1-3 90
31 qCM 09/09/1981 Bruxelles Belgique 0-2 90
32 qCM 14/10/1981 Dublin Rep. d’Irlande 2-3 90
33 qCM 18/11/1981 Paris (Parc) Pays-Bas 2-0 90
34 qCM 05/12/1981 Paris (Parc) Chypre 4-0 90
35 Amical 24/03/1982 Paris (Parc) Irlande du Nord 4-0 90
36 Amical 28/04/1982 Paris (Parc) Pérou 0-1 90
Préparation 29/05/82 Andorre Andorra CF 2-1 -
37 Amical 02/06/1982 Toulouse Pays de Galles 0-1 90
Préparation 08/06/1982 Andorre Andorra CF 2-0 -
Préparation 11/06/1982 San Sebastian Real Sociedad 3-1 70>
38 CM T1 16/06/1982 Bilbao* Angleterre 1-3 90
39 CM T1 21/06/1982 Valladolid* Koweït 4-1 90 1 but
40 CM T1 24/06/1982 Valladolid* Tchécoslovaquie 1-1 90
41 CM T2 28/06/1982 Madrid* Autriche 1-0 90
42 CM T2 04/07/1982 Madrid* Irlande du Nord 4-1 90
43 CM 1/2 08/07/1982 Séville* Allemagne 3-3 (4-5 tab) 90
44 Amical 31/08/1982 Paris (Parc) Pologne 0-4 45 >
45 Amical 06/10/1982 Paris (Parc) Hongrie 1-0 90
46 Amical 10/11/1982 Rotterdam Pays-Bas 2-1 90
47 Amical 16/02/1983 Guimaraes Portugal 3-0 90
48 Amical 23/03/1983 Paris (Parc) URSS 1-1 90
49 Amical 23/04/1983 Paris (Parc) Yougoslavie 4-0 90 (cap.)
50 Amical 07/09/1983 Copenhague Danemark 1-3 90
51 Amical 12/11/1983 Zagreb Yougoslavie 0-0 90
52 Amical 29/02/1984 Paris (Parc) Angleterre 2-0 90
53 Amical 28/03/1984 Bordeaux Autriche 1-0 90
54 Amical 18/04/1984 Strasbourg Allemagne 1-0 45 > (cap.)
Préparation 26/05/1984 Andorre Andorra CF 9-0 -
Préparation 26/05/1984 Andorre Andorra CF 5-1 -
55 Amical 01/06/1984 Marseille Ecosse 2-0 90
56 Euro T1 12/06/1984 Paris (Parc) Danemark 1-0 90
57 Euro T1 16/06/1984 Nantes Belgique 5-0 90
58 Euro T1 19/06/1984 Saint-Étienne Yougoslavie 3-2 90
59 Euro 1/2 23/06/1984 Marseille Portugal 3-2 (prol) 90
60 Euro fin 27/06/1984 Paris (Parc) Espagne 2-0 90
UNFP 05/09/1984 Paris (Parc) Inter Milan 0-1 63 > (cap.)
61 qCM 13/10/1984 Luxembourg Luxembourg 4-0 90
62 qCM 21/11/1984 Paris (Parc) Bulgarie 1-0 90
63 qCM 08/12/1984 Paris (Parc) RDA 2-0 90
64 qCM 02/05/1985 Sofia Bulgarie 0-2 90
65 Interc. 21/08/1985 Paris (Parc) Uruguay 2-0 90
66 qCM 11/09/1985 Leipzig RDA 0-2 90 (cap.)
67 qCM 30/10/1985 Paris (Parc) Luxembourg 6-0 28 >
68 Amical 26/02/1986 Paris (Parc) Irlande du Nord 0-0 90
69 Amical 26/03/1986 Paris (Parc) Argentine 2-0 90 (cap.)
Préparation 21/05/1986 Tlaxcala Guatemala 8-1 -
Préparation 24/05/1986 Tlaxcala Mexique U20 1-1 -
Préparation 28/05/1986 Tlaxcala UNAM Pumas 0-2 -
70 CM T1 01/06/1986 Leon* Canada 1-0 90
71 CM T1 05/06/1986 Leon* URSS 1-1 90
72 CM T1 09/06/1986 Leon* Hongrie 3-0 90
73 CM 1/8 17/06/1986 Mexico* Italie 2-0 90
74 CM 1/4 21/06/1986 Guadalajara* Brésil 1-1 (4-3 tab) 90
75 CM 1/2 25/06/1986 Guadalajara* Allemagne 0-2 90
76 CM 3pl 28/06/1986 Puebla* Belgique 4-2 (prol) > 65

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Qu’est-ce qu’une chronobiographie ?

[1Max Bossis restera détenteur du record jusqu’au 9 février 1992, quand Manuel Amoros honorera sa 77e sélection à Wembley contre l’Angleterre.

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